

Inner Balance
Counselling & Consulting
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Corinne Llaurency
Clinical Psychologist
The marshmallow test by the psychologist Walter Mischel.
Le test de la guimauve ou l`importance de la patience par le psychologue Walter Mischel
The marshmallow test is an experimental design that measures a child's ability to delay gratification. The child is given the option of waiting a bit to get their favorite treat, or if not waiting for it, receiving a less-desired treat. The minutes or seconds a child waits measures their ability to delay gratification.
Selon certaines études scientifiques, l'expérience du marshmallow, est LE test qui permet le mieux de prédire la réussite dans la vie d'un individu.
Pourquoi ? Parce qu'elle permet de mesurer la sensibilité à la gratification différee et l importance de developper la patience.
Le test du marshmallow ou comment réussir sa vie, ça commence ici.
je vous propose plusieurs liens sur ce test qui montre sur toute une vie, sur le long terme l importance de l acceptation de la patience et de la gratification differee.
in French :
https://www.mercialfred.com/topos/test-marshmallow
in English
https://www.simplypsychology.org/marshmallow-test.html


The most recent research on psychology shows that self regulation is more effective than self control according to Stuart Shanker
There is a profound difference between self-regulation and self-control. Self-control is about inhibiting strong impulses; self-regulation, reducing the frequency and intensity of strong impulses by managing stress-load and recovery.
Self-regulation seeks to identify and reduce the causes of problems in mood, thought, and behaviour.
Self-regulation is always searching for hidden stressors.
Self-control seeks to inhibit or manage such problems only when they arise.
Self-control looks only at surface behaviours.
Origin:
The roots of the distinction between self-regulation and self-control are remarkably ancient, tracing all the way back to Hippocrates and Plato.
Hippocratic physicians turned to cupping, diet, exercise, and emetics to restore “humoral balance” in the blood.
Methods:
Both self-regulation and self-control seek to achieve “effortful control”, or the ability to voluntary manage attention and inhibit or activate behaviours in response to external stimuli.
Self-Reg seeks to reduce the effort required to reach effortful control.
Self-regulation is about looking non–judgmentally at one’s impulses, worries, and fixations.
Self-control encourages battling “weaknesses” to exercise effortful control.
Self-control is about being judged, by oneself as much as by others.
Self-regulation makes self-control possible,
not the other way around.
Helping All Children Achieve Their Full Potential
To be successful in life takes flexibility, creativity, self-control and discipline. Central to all of those are ‘executive functions.’
For over 30 years, Dr. Adele Diamond, Canada Research Chair in Developmental Cognitive Neuroscience, has been studying executive functions and the region of the brain (i.e. prefrontal cortex) on which they rely. Her work integrates behavioural, neuroanatomical and molecular genetic approaches to study how executive functions can be modified by the environment, modulated by genetics and neurochemistry, or become derailed in certain disorders, and effective interventions and ways to prevent disorders.
Her current research is changing our understanding of the prefrontal dopamine system and of gender differences in that, and affecting early education practices about the possibility of intervening early to improve executive functions to head off mental health and academic problems. Her work has shown that executive functions can be improved in very young children by regular teachers in normal classrooms without expensive equipment.
Most recently, Diamond is turning her attention to the possible roles of play, the arts, dance, storytelling and physical activity in improving executive functions and academic and mental-health outcomes. What nourishes the human spirit may also be best for executive functions.
Aider tous les enfants à réaliser leur plein potentiel
Pour réussir dans la vie, il faut de la souplesse, de la créativité, de la maîtrise de soi et de la discipline. Or, aucune de ces facultés n’est possible sans les « fonctions exécutives ».
Depuis plus de 30 ans, Adele Diamond, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en neurosciences cognitives développementales, étudie les fonctions exécutives et la région du cerveau (le cortex préfrontal) qui en est le siège. Son travail intègre des approches comportementales, neuroanatomiques, génétiques et moléculaires pour étudier comment les fonctions exécutives peuvent être modifiées par l’environnement, être modulées par la génétique et la neurochimie ou devenir déficientes à cause de certains troubles. Il examine aussi des interventions et des moyens efficaces de prévenir ces troubles.
Sa recherche modifie notre compréhension du système dopaminergique préfrontal et des différences entre les sexes à cet égard. Elle influe sur les pratiques d’éducation de la petite enfance quant à la possibilité d’intervenir tôt pour améliorer les fonctions exécutives afin d’éviter les troubles de santé mentale et les problèmes scolaires. Son travail a montré que les fonctions exécutives peuvent être améliorées chez les très jeunes enfants à l’aide d’enseignants réguliers dans des classes normales sans matériel coûteux.
Plus récemment, Adele Diamond concentre son attention sur les rôles possibles du jeu, des arts, de la danse, des contes et de l’activité physique dans l’amélioration des fonctions exécutives et des résultats à l’école et en santé mentale. Ce qui nourrit l’esprit humain pourrait bien être aussi la meilleure option dans le cas des fonctions exécutives.
La résonance du champ morphique
Dans une île de l’archipel japonais, des scientifiques étudient le comportement des singes sauvages. Ces animaux se nourrissent essentiellement de patates douces. Un jour, une guenon va laver à la rivière une pomme de terre avant de la manger ; elle répète ce geste les jours suivants et bientôt d’autres singes l’imitèrent. Quelque temps après, tous les singes de l’île avaient adopté ce comportement. Jusque-là, rien d’étonnant. Mais les scientifiques constatèrent que d’autres singes qui vivaient sur d’autres îles avaient pris également l’habitude de laver leurs patates avant de les manger.
Or, il n’y avait eu aucun contact physique entre les îles et personne n’avait transporté de singe. Par quel moyen l’information était-elle passée ?
Cela nous demontre que nous sommes interconnectes
Cela voudrait dire que les membres d’une espèce peuvent partager des informations dans le une meme conscience.
Si je fais un travail en profondeur sur moi, cela va se repercuter sur tous les etres, cette theorie des champs morphiques nous demontre l Unite et l interconnection de toute chose.
https://www.sheldrake.org/research/morphic-resonance/introduction



